Brian
Riordan, Consultant

Expertise

Litige, Droit des affaires

Langue

Français et Anglais

Admission au Barreau

1979

Pour me joindre


T. (514) 875-8421

Télécopieur. (514) 875-8237

C.briordan@nullspiegelsohmer.com

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Présentation générale

Me Brian Riordan a obtenu son diplôme en droit de l’Université McGill en 1978 et a agi comme rédacteur sénior pour la Revue de droit de McGill. Il détient également une maîtrise en économie de la même institution. Membre du Barreau du Québec depuis 1979, il a œuvré principalement en droit commercial et du travail avant d’être nommé à la Cour supérieure du Québec en décembre 2004.

 

Il a pris sa retraite de la Cour en octobre 2022 après 18 ans de service, où il a siégé à la Chambre commerciale. Dans ce contexte, il est connu surtout pour ses jugements dans le cadre de différends entre actionnaires et de faillite.

 

Entre janvier 2008 et décembre 2014, il était le juge gestionnaire et le juge de procès des deux actions collectives contre les trois fabricants canadiens de cigarettes. Par son jugement en date du 27 mai 2015, il a condamné les compagnies défenderesses à payer à des fumeurs québécois des dommages compensatoires et punitifs de plus de 15 milliards de dollars.

 

Comme consultant chez Spiegel Sohmer, il offre des conseils dans le domaine du litige, tant sur la stratégie que sur la technique, et il facilite le programme de mentorat et coaching pour les plus jeunes avocats. Parallèlement, il exploite une pratique indépendante en médiation et arbitrage.

 

À travers toute sa carrière, il a offert ses services comme bénévole pour l’avancement des jeunes. Il était président des Grands Frères Grandes Sœurs du Grand Montréal pendant plusieurs années et est même monté sur scène pour jouer dans plus d’une douzaine de productions théâtrales au bénéfice du Théâtre Centaur et, plus récemment, du Théâtre Geordie pour enfants. D’ailleurs, il qualifie tout soupçon selon lequel il a été choisi deux fois pour jouer le rôle d’Ebenezer Scrooge dans la pièce The Christmas Carol surtout en raison de la ressemblance entre sa personnalité et celle de ce personnage dickensien comme du pur « humbug ».